viernes, 5 de diciembre de 2014
sábado, 1 de noviembre de 2014
1 NOVEMBRE
Avec Amour et gratitude pour tous ceux qu’ils sont dans l’au-delà, spécialement nos ancêtres,
que leur lumière rayonne nos vies et la terre; face pousser les coquelicot aux champs, les tulipes, les roses aux jardins, les jasmins aux murs;
face chanter les alouettes, et voler les colombes de la Paix, notre commun destin à tous…
elgodiv
sábado, 18 de octubre de 2014
ADIOS A MASARU EMOTO
ARIGATO MASARU !
Feliz Regreso a Casa Masaru Emoto, honramos y celebramos con infinito amor su vida !
Esta mañana temprano ha fallecido Masaru. Su esposa estaba con él.
Desde que se enfermó en Shanghai, ha recibido tanto amor y gratitud por parte de sus queridos amigos de todo el mundo. Él estaba muy animado y feliz de recibir sus amables mensajes de amor.
Su última palabra fue "Arigato". ("Gracias" en japonés) Creemos que su última palabra fue para ti, para todo el mundo. Estaba tan agradecido a usted y les da a todos muchas gracias.
Él solía decir: "La vida es amor, que es un don de Dios y los padres, y la muerte es la gratitud para ir a una nueva dimensión". Así que ahora que él está en otra dimensión esta mirando calidamente sobre nosotros con amor y gratitud.
Vamos a continuar con su misión de difundir el poder del "amor y gratitud".
Les agradecemos mucho por ofrecer oraciones por el Dr. Emoto, y por favor enviar su amor, la luz y gratitud hacia él una vez más.
Con mucho amor y gratitud,
IHM Staff, la tierra, su maravillosa agua y todos los que conocimos su misión!
viernes, 26 de septiembre de 2014
jueves, 28 de agosto de 2014

"Nous marchions sans nous chercher, tout en sachant que nous marchions pour nous rencontrer »
JULIO CORTAZAR
Dans le centenaire de sa naissance- AOÜT 1914
Julio CORTAZAR, L'ÉCRIVAIN DE TOUTE UNE GÉNÉRATION, INVENTEUR DES LANGAGES, MONDES, fabuleux "cronopio", je t'en remercie pour nous apprendre "Le voyage du jour un 80 mondes", prophète de la métamorphose de la conscience. (elgodiv)
(Belge) Né en Belgique, mort à Paris, mais résolument argentin: Julio Cortazar, auteur de "Marelle" et considéré comme l'un des plus grands écrivains latino-américains, aurait eu 100 ans cette semaine, l'occasion d'un hommage des deux côtés de l'Atlantique.
"Nous marchions sans nous chercher, tout en sachant que nous marchions pour nous rencontrer": même Google, en plaçant mardi une phrase de son livre phare sur sa page d'accueil argentine, s'est souvenu de l'écrivain facétieux, surmontant la barre de recherche d'une marelle avec son portrait. "Marelle", roman-labyrinthe de 600 pages qui entremêle récits à Paris et à Buenos Aires, et que le lecteur peut lire dans l'ordre ou en sautant d'un chapitre à l'autre (il y en a 155) sans suivre la numérotation, est sans conteste l'oeuvre la plus connue de Julio Cortazar. Quand le livre est publié en 1963, l'écrivain, féru de surréalisme et de pataphysique, a déjà près de cinquante ans et une oeuvre prolifique derrière lui, souvent teintée d'humour, avec notamment "Bestiaire", "Fin d'un jeu" ou encore "Les armes secrètes", des recueils de nouvelles qui témoignent déjà de son talent de conteur.
Né à Ixelles (Belgique) le 26 août 1914, il rejoint l'Argentine quand sa famille y revient en 1918, avant de la quitter à nouveau en 1951 pour la France, en protestation contre la dictature du général Peron. "Il avait fait sa vie à Paris, mais l'Argentine a été sa référence, et cela se voit dans son oeuvre", raconte à l'AFP Sara Facio, amie photographe de l'écrivain et auteur de son portrait le plus célèbre en 1967, une photo en noir et blanc le montrant cigarette à la bouche et regard frondeur. Mêlant souvent le fantastique ou le réalisme magique typique de la littérature sud-américaine, son oeuvre, traduite dans une trentaine de langues, s'est vendue cette année à plus de 100.000 exemplaires dans les pays de langue espagnole. En Argentine, 2014 a été décrétée "année Cortazar", avec comme thème "100 ans sans Julio". A Buenos Aires, pendant trois jours, plus de 40 écrivains, universitaires et journalistes débattent cette semaine à la Bibliothèque nationale du rôle de cet intellectuel engagé à gauche, ayant soutenu les révolutions cubaine et sandiniste.
Au Musée des Beaux Arts, une exposition intitulée "Les autres ciels" réunit, jusqu'au 28 septembre, sa machine à écrire, sa pipe, une vieille guitare que lui avait offerte le poète chilien Pablo Neruda et de nombreuses photos de l'auteur. Son exil en France, pendant plus de trente ans et jusqu'à sa mort, a lui aussi laissé des marques. L'auteur de "Cronopes et famas" y avait travaillé, en plus de ses écrits, comme traducteur, faisant passer à l'espagnol des auteurs comme Marguerite Yourcenar ou Lautréamont. Il avait même pris la nationalité française en 1981. Mardi, plusieurs dizaines de personnes,la plupart originaires d'Amérique du sud, se sont réunies à Paris autour de sa tombe, au cimetière Montparnasse. "Par hasard, il s'est produit ici une rencontre extraordinaire entre Latino-américains, nous ne nous connaissions pas avant, mais nous voici réunis pour célébrer une fois de plus la naissance d'un être aussi extraordinaire", racontait Susana Neuhaus, psychologue et artiste argentine, amie personnelle de Julio Cortazar. A ses côtés, le cinéaste uruguayen Gonzalo Arijon avait lui entrepris de réaliser un petit film devant la tombe: "c'est un plan séquence de 40 minutes dans lequel défilent de nombreuses personnes, c'est un moment collectif, très émouvant, un acte d'amour spontané", a-t-il expliqué. Un film qui sera ensuite diffusé sur plusieurs télévisions latino-américaines et sur YouTube. (Belga)
Né à Ixelles (Belgique) le 26 août 1914, il rejoint l'Argentine quand sa famille y revient en 1918, avant de la quitter à nouveau en 1951 pour la France, en protestation contre la dictature du général Peron. "Il avait fait sa vie à Paris, mais l'Argentine a été sa référence, et cela se voit dans son oeuvre", raconte à l'AFP Sara Facio, amie photographe de l'écrivain et auteur de son portrait le plus célèbre en 1967, une photo en noir et blanc le montrant cigarette à la bouche et regard frondeur. Mêlant souvent le fantastique ou le réalisme magique typique de la littérature sud-américaine, son oeuvre, traduite dans une trentaine de langues, s'est vendue cette année à plus de 100.000 exemplaires dans les pays de langue espagnole. En Argentine, 2014 a été décrétée "année Cortazar", avec comme thème "100 ans sans Julio". A Buenos Aires, pendant trois jours, plus de 40 écrivains, universitaires et journalistes débattent cette semaine à la Bibliothèque nationale du rôle de cet intellectuel engagé à gauche, ayant soutenu les révolutions cubaine et sandiniste.
Au Musée des Beaux Arts, une exposition intitulée "Les autres ciels" réunit, jusqu'au 28 septembre, sa machine à écrire, sa pipe, une vieille guitare que lui avait offerte le poète chilien Pablo Neruda et de nombreuses photos de l'auteur. Son exil en France, pendant plus de trente ans et jusqu'à sa mort, a lui aussi laissé des marques. L'auteur de "Cronopes et famas" y avait travaillé, en plus de ses écrits, comme traducteur, faisant passer à l'espagnol des auteurs comme Marguerite Yourcenar ou Lautréamont. Il avait même pris la nationalité française en 1981. Mardi, plusieurs dizaines de personnes,la plupart originaires d'Amérique du sud, se sont réunies à Paris autour de sa tombe, au cimetière Montparnasse. "Par hasard, il s'est produit ici une rencontre extraordinaire entre Latino-américains, nous ne nous connaissions pas avant, mais nous voici réunis pour célébrer une fois de plus la naissance d'un être aussi extraordinaire", racontait Susana Neuhaus, psychologue et artiste argentine, amie personnelle de Julio Cortazar. A ses côtés, le cinéaste uruguayen Gonzalo Arijon avait lui entrepris de réaliser un petit film devant la tombe: "c'est un plan séquence de 40 minutes dans lequel défilent de nombreuses personnes, c'est un moment collectif, très émouvant, un acte d'amour spontané", a-t-il expliqué. Un film qui sera ensuite diffusé sur plusieurs télévisions latino-américaines et sur YouTube. (Belga)
miércoles, 13 de agosto de 2014
Au revoir Robin Williams
Merci pour tant de vie donné en si précieux personnages, messages, gestes héroïques des grands et petit moments de l’être humain!
Merci pour toutes les émotions et tant de joie pleine de sens, magnifique humour, tendresse et beauté dépliée!
Merci pour ta lumière qui a permis éveiller en peu plus la conscience des tant des générations!
Adios Robin Williams
Gracias por la vida entregada en tantos preciosos personajes, mensajes, gestos heroicos de cada momento grande y pequeño en el ser humano.
Gracias por las grandes emociones y alegría llena de sentido, magnifico humor, ternura y belleza desplegada!
Gracias por tu Luz que permitió abrir algo màs la conciencia de tantas generaciones !
***
lunes, 4 de agosto de 2014
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COQUELICOT |

CHAMPS DE COQUELICOT
AUJOURD'HUI 4 AOÛT 2014 ON COMMEMORE LE DÉBUT DE LA GUERRE 14-18.
JAMAIS CA ÉTÉ POSSIBLE COMME MAINTENANT LA GLOBALISATION D'INFORMATION DE CE QUI A ÉTÉ POUR LE MONDE, CHAQUE PAYS ET PERSONNE CETTE ÉVÉNEMENT QUI PEUT NOUS FAIRE RÉFLÉCHIR SUR NOS VIES ET L'ÊTRE HUMAIN.
ON EST FACE AU CHOIX DE VIVRE DANS LE DRAME, LA MORT, OU BIEN DANS UNE MAJEURE CONSCIENCE ET FORCE POUR CONSTRUIR UN PRÉSENT ET UN AVENIR DANS LA PAIX
ON EST À LA FIN DU TEMPS OÙ ILS NOUS DONNENT LA POSSIBILITÉ DE RESURRECTION DES NOS MORTS, NOS VIES
QU'IL SOIENT BIEN CHAQUE COQUELICOT SYMBOL FLEURI DE CETTE GUERRE, QUI POUSSAIENT PARTOUT AUX CHAMPS DES TRANCHÉES, BATAILLES ET CHEMINS DES SOLDATS, L'ANNONCIATION DE LA VIE QUI RENAISSE APRÈS TOUTE LE SANG VERSÉE.
elgodiv
viernes, 25 de abril de 2014
Adios a un companero |
" Quiero ser luz "
"Se me està haciendo la noche en la mitad de la tarde...
no quiero volverme sombra
quiero ser luz y quedarme..."
(Daniel Requera)
Palabras y mùsica en dedicace de un companero a la memoria de Raùl Pizarro- QEPD, companero de promocion del Liceo Manuel de Salas (Santiago de Chile) fallecido este 24 Abril 2014.
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miércoles, 2 de abril de 2014
En commémoration du centenaire de la Grande Guerre
martes, 18 de marzo de 2014
Acompanando el sensible fallecimiento de Gisella Rubilar Figueroa, hija de nuestro querido ex-profesor del Liceo Manuel de Salas de psicologia y filosofia Luis Rubilar, Doctor en Estudios Americanos y actualmente escritor.
Gisella murio accidentalmente como consecuencia de las protestas en Venezuela. QEPD.